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Date de la version révisée: 4 janvier 2025.
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Les enseignements du Christ portent en eux une sagesse et un message qui produisent aujourd’hui encore, paix, lumière, secours et consolation. Et, en tant qu’Annonciatrice de la bonne nouvelle, j’ai pris grand plaisir à écrire Toute La Création Soupire, car la philosophie de Jésus invite à une transformation intérieure et à une compréhension plus profonde de notre humanité. De plus, Toute La Création Soupire est une réponse à une requête sur ma foi.
Aussi, sans être hérésiologue, bibliste ou spécialiste en interprétation des Écritures, j’ai régulièrement utilisé des versets de la Bible pour illustrer les divers témoignages de Toute La Création Soupire, où je partage mes expériences et mes réflexions; fruits de révélations de l’Esprit et de méditations résultant d’une relation intense et sincère avec le Christ.
Et, bien que la foi soit une source de force et de guidance, j’ai traversé des périodes de doute et d’égarement. Et, étonnamment, c’est précisément dans ces moments de confusion que la fidélité de Dieu s’est révélée de manière puissante. Malgré mes hésitations et faiblesses, Il est toujours resté présent, me conduisant avec patience et bienveillance.
Cela dit, je t’encourage à aborder mes observations spirituelles avec un esprit ouvert et critique.
Je reçois quelquefois des révélations de l’Esprit (Saint-Esprit, Esprit-Saint ou encore Esprit de Dieu, Esprit du Seigneur) que je crois inédites; mais en écoutant certains enseignants de la Bible sur Internet ou en live, ils me rejoignent dans mes révélations ! Au début de ce projet, cela me frustrait tant que j’étais à deux doigts d’interrompre l’écriture de Toute La Création Soupire. Et puis, Adeline, la délicate et épouse de Philippe, mon consciencieux ami, me dit:
— mais ne t’inquiète pas pour ça, Doudou ! Tu y ajouteras ta petite touche féminine ! Dans le fond, c’est bien la preuve que vous êtes en communion avec le Saint-Esprit…
Big bang
Assez tôt, je compris qu’il allait falloir différencier Dieu, de la Religion; et ce, en me montrant la plus respectueuse possible. La religion nous enseigne, en grande partie, à pratiquer des rituels; la plupart du temps, répétés et valorisant pour l’âme; ce qui n’est pas un mal en soi; mais en vérité, la Bible dit:
la religion pure et sans tache devant Dieu notre Père, consiste à visiter les veuves et les orphelins dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde.
📖 Jacques 1:27
Big bang
Big bang
Big bang
Dans le livre et sous l’onglet Remerciements, je cite quelques pasteurs fortement controversés. Or, si ce qu’ils disent est conforme aux Écritures, je m’en nourris ! Avec le temps, j’ai appris à faire la part des choses. Dorénavant, je laisse à Dieu, qui connaît les cœurs, le soin d’évaluer leurs réelles motivations.
Big bang
📖 1 Samuel 16:7
'L'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur'
Et bien que je sois adepte du créationnisme (vieille théorie contraire à l’évolutionnisme, qui estime que nous existons parce que nous avons été créés par le Créateur (Genèse 1:1-31)), j’aimerais indiquer que je ne conteste nullement la théorie du Big Bang (explosion ayant marqué la naissance de l’Univers ou modèle cosmologique utilisés par les scientifiques pour décrire l’origine et l’évolution de l’Univers) !
En somme, ressembler au Christ, c’est la vraie Vie (St-Jean 14:6) ! En vérité, nous pouvons lire dans les actes des apôtres (11:26), que pour la première fois, les disciples furent appelés ‘Chrétiens’ ! En effet, le mot ‘Chrétien’, signifie littéralement: comme Christ, petit Christ.
Et se laisser diriger et gouverner par l’Esprit en toutes circonstances, nous fera réaliser Ses projets et ainsi deviendrons-nous des héro.ines par procuration ! Un peu comme ce que rapportait un pasteur à propos d’une petite souris à dos d’éléphant, lui disant, lors d’une traversée de rivière sur un pont de bois:
— Waouh ! Tu vois comme on fait trembler le pont ?
Fin de siècle dernier – Au tout début de ma rencontre avec le Christ, je lisais un livre que j’appréciais beaucoup; sauf que, à un moment donné, je me suis quand même dit:
— Mais on leur donnerait le bon Dieu sans confession à tous dans ‘c’livre’ !
En effet, zéro parole négative ! Zéro critique ! Tout au long du récit, l’écrivain ne tarit d’éloges à l’égard de ses intervenants !
Après l’avoir terminé, je me baladais en ville et j’avais le livre en question sur moi; je vis une Dame à l’allure prestigieuse, assise côté passager dans une Jaguar vert bouteille, les vitres latérales grandes ouvertes. Nous nous sourîmes mutuellement, je lui offris le livre… et la Lady accepta le don ! Alléluia !
Aujourd’hui, l’annonciatrice de la bonne nouvelle que je suis, interprète différemment ce débordement de respectabilité: l’écrivain, qui se considérait ‘richissimement’ à cause de sa foi, valorisait probablement son prochain pour refléter ici-bas l’honorabilité qui découle du royaume des cieux…
Ainsi, dans le livre, j’honore également mes parents, Clémentine, Daniel, Edmond, Florian, Heidi et Ulrika. Or, sont-ils sans défaut ? Bien sûr que non, mais disons que leurs qualités m’ont d’avantage édifiée, que leurs défauts ne m’ont froissée ! C’est pourquoi, c’est sur un ton panégyrique (louangeur) que j’aromatise, la plupart du temps, les narrations concernant mes parents, Clémentine, Daniel, Edmond, Florian, Heidi et Ulrika; pour ne citer qu’eux.
Cependant, dans la mesure où la Bible regorge de personnages qui nous ressemblent — je veux dire par là, des hommes et des femmes de la même nature que toi et moi, capables du meilleur comme du pire — j’ai voulu, moi aussi, glisser dans ce livre quelques figures discutables… dont moi !
Cela dit, ce livre n’a nullement l’intention de te choquer ou de te scandaliser. Cependant, il se pourrait, à contrecœur, qu’il vienne chatouiller ta sensibilité. En vérité, j’aurais préféré garder certains témoignages embarrassants pour moi, mais mon désir est de me présenter à toi sans fard, sans faux-semblants. Je te remercie donc par avance pour ta clémence. Et puis, plusieurs personnes m’ont confié après avoir reçu la bonne nouvelle:
— mais après tout le mal que j’ai fait, comment Dieu pourrait-il encore me pardonner ?
En effet, je comprends parfaitement ce ressenti, car notre nature humaine, parfois contre toute raison, nous entraîne sur des chemins que nous n’aurions jamais envisagés. Pourtant, je suis convaincu que la miséricorde de Dieu est infinie, bien plus vaste que nos erreurs passées, présentes et futures ! Après tout… et si la clémence divine était la plus belle des réponses ?
